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journal de bord de la vie d'un jeune français qui rêve de mondes inconnus et de pouvoir de l'esprit, arpentant la terre a la recherche de sa princesse

23 Sep

nature morte, mais cagoulée!

Publié par Shaman

voilà... 1+1=3 lol





entre la beauté de la nature et l'absurdité du soi disant éphemere... une seule solution!! l'évolution!!!




je me sens ce soir comme le maitre de léonard arretant de peindre devant son éléve ( je suis toujours prétentieux!!lol)
je viens de lire les biographies de max gallo sur victor hugo, il a toujours été mon idole quant à l'écriture, une telle facilité, une telle aisance, on dirait qu'il rilme sans faire expres, je ne sais pas si je dois encore écrire, bien que décomposer des lettres sur un attirail de plastique n'a plus rien à voir avec le romantisme de la plume frolant, volant, griffant peut être une feuille vierge d'expression, si ce n'est l'immuable véritable vérité sans nom, sans mots, sans encre ni homme...

mais non, je ne suis pas encore le maitre de de vinci, alors, disons que je ne sais reconnaitre le talent innaccessible des maitres, et que je continue en croyant que certains de mes mots pourront toucher certaines étoiles terrestres.

vivons, et prenons plus que dans les sages, la connaissance dans les dires des vulgaires...
un exemple?
dans le film des bronzés 3, il est dit:
"Danse comme si personne ne te regardait,
travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent,
et aime comme si tu n'avais jamais souffert..."


bon, il est vrai que dans le yi-king il est écrit: "celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas"
heureusement, il ne dit rien au sujet des malheureux qui versent leurs larmes colorées sur des feuilles , aujourd'hui de lumière.



jamais je ne serais véritable poète, et pourtant la malediction de l'amour des mots pour soigner la purulence des plaies d'émotions indomptées s'abat sur moi quand s'éloigne les atours d'une sociale existence...


mais s'il suffisait de mettre à bas quelques rimes
pour que les mots trouvent leurs doctrines,
 alors leurs dictionnaires
 eurent mis bien de grands à terre...

ainsi va le temps,
j'accorde mais pourtant,
ce soir j'ecris sur des rayons de lumiére...
internet est loin de ma chaumière,
où jadis au feu de la cire brulante,
je parcourai plume à la main,
et dans l'obscur la main tremblante,
la rêche peau d'un blanc parchemin...

parfois dans le froid et l'humilité
qu'apporte l'habitat et la piété,
écrire était comme respirer,
comme avoir une femme
tant de nuit désirée,
toute petite flamme...

et qui pourtant envahissait mon obscur entourage,
d'une sainte présence, d'une foi,
dans l'étonnement le courage,
et combien d'amour tant de fois?

mon dieu comment  ne peuvent ils écrire?
pourquoi aimais-je
cette seule façon de dire...crier pleurer que sais je
cela n'est rien,
 que de voir sa propre pensée
devenir son seule bien,
la seule chose en l'univers sensée?


puisque du soleil chaque rai demeure différent,
mais que tous au même centre se meuvent,
qui sera notre réferent,
dont nos questions s'abreuvent?

puisque tu vas où toi seul peux aller,
tu peux dire comment marcher
mais n'ont point comment haler
le taxi de la vie qui pourra m'emmener...

et si moi aujourd'hui j'ecris
c'est que le seul medicament prescris
est ce facile état d'esprit:
ecrit et puis aprés tu verras ce que tu prie..

ö nul excés de foi ou religion
grand dieu non! fi cette contagion,
à bas les vérités faciles,
aux volutes graciles,

fi!!!
bichette...

que l'on me donne une épée,
mais de pinceaux calfeutrée
donnez moi un fourreau
mais le devoir d'un bourreau,

que ma plume s'affute ,
et apaise mon âme
qu'elle plaise à ma dame,
et délaisse les p... ( oups .. censure!)




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