griffe marbrante au desir macule, vif ardent espoir accule quant au reve matinal se souvient de la sublime hantise qui revient... sourde a l'insolente rumeur qui gronde et folle en mon coeur, elle est belle sucidaire en mon etre, et sera demain ma lumiere...
ca y'est j'y suis... apres deux jours et demi de 4x4, entre arbres geants qui cannopent superbement (non pas comme les vases...), apres avoir eviter les varans et differents serpents, sans s'etre embourbe. remarquable en saison des pluies, me voici pour...
et ecrire comme on fredonne une complainte d'un air absent... ecrire par coeur... comme pour vous rejoindre, comme si vous etiez a mes cotes, comme si nous avions toujours ete ensemble... pas pour raconter, pour relier... comme un pont entre deux iles...
quelques 1000 kits pour des refugies, a compter et verifier, que du bonheur, et le camion qui part sur les pistes boueuses... la rue centrale de monrovia avec au fond un des deux tristement celebres immeubles des films d'enfants soldats au liberia, johnny...
il ya de l'eau dans mes yeux, car la pluie qui m'entoure ne suffit pas, et il y a des nuages autour d'eux car la vie qui m'entoure ne s'entend pas... et si cette eau parfois deborde c'est pour laver mon coeur, pour que mon cri s'accorde a la lumiere dans...
et dans les dernieres meches des flammes que l'obscurite ebreche, mon ame je prie de t'aimer encore ne serait-ce que jusqu'a l'aurore, avoir vu un autre jour, semblable au soleil o notre amour... brulant pas sa presence glacant de son abscence... crucifie...
pendant les plus durs instants de la guerre, l'esperance de vie avait chutee a 29 ans... quand on a 11 ans, qu'on a vu ses amis mourir, qu'on a ete force de tuer ses parents, que l'on a tue, que l'on a viole, pris de la drogue et pille, que reste t il...
il y aurait tant a dire... le travail avance, les jours sont longs mais les emaines si courtes, je n'ai jamais le temps de faire ce que je dois dans la journee... dans un peu moins d'une semaine je serais perdu dans le bush, loin de tout... les doutes...
les rues de Monrovia se metamorphosent en rivieres humaines ou jaillissent toutes sortent d'etalages incongrues a la veille de la fete de l'independance, les liberiens viennent en ville dans l'espoir de vendre quelques ersatzs ou menus objets... plus...
Et doucement, hesitant Le silence de mes levres a glisse sur la tendresse des siennes… Et doucement, tremblant, Mon regard s’est enfuit dans le sien… Le temps d’un rêve un souvenir naquit, Espoir contre l’oubli Qu’on appelle en vain dans la nuit… O terreur...
/image%2F0667556%2F20181228%2Fob_ee9240_baby.jpg)
/image%2F0667556%2F20160926%2Fob_e012dc_img-2405.JPG)
/image%2F0667556%2F20160116%2Fob_71d7ba_img-3422.JPG)
/image%2F0667556%2F20160116%2Fob_75ff11_gazelle2.JPG)
/image%2F0667556%2F20160105%2Fob_ac4658_femmes-desert.JPG)
/http%3A%2F%2Fassets.over-blog-kiwi.com%2Fthemes%2F34%2Fimages%2Fdefault_cover.jpg)
…
/idata%2F0461007%2Fliberia%2Fmonrovia--2-.JPG)
